Parcours...
Jean-Philippe Haure est né à Orléans, France, le 19 janvier 1969, d’un père artisan carrossier et d’une mère secrétaire. Il est le troisième fils d’une famille de quatre enfants et passa toutes les années de son enfance sur les bords de la Loire, entre le village de Muides sur Loire, la ville d’Orléans et Saint Benoît sur Loire.


Après son collège et bien qu’il eut un dossier scolaire excellent lui permettant d’envisager des études dans de grandes écoles, il choisit d’entrer à l’école Boulle à Paris, d’où il sortit diplômé 5 ans plus tard du « diplôme des métiers d’art ». Attiré par la spiritualité bénédictine, il entra au monastère de Saint benoît sur Loire, avant d’être envoyé comme coopérant en Indonésie, à l’école d’art Sasana Hasta Karya. De la commença une aventure artistique et culturelle d’une grande richesse…
1969 Né à Orléans, France.
1983 Entre à l’Ecole Boule. [1].



1989 Travaille sur la restauration de pièces du Mobilier National.
1989 Entre comme novice au monastère bénédictin de Saint Benoît sur Loire, l’Abbaye de Fleury. [2].


1990 Volontaire du Service National pour l’école d’art Sasana Hasta Karya, Bali, Indonésie.



1991 Développe Sasana Hasta Karya, en ajoutant au cours déjà dispensés, les sections d’ébénisterie, de dessin d’art, de peinture, de machine outil.
1992 Commence à photographier en noir et blanc la vie quotidienne de la population balinaise.
1996 Après le départ du fondateur de Sasana Hasta Karya, sous l’autorité de Mgr Bria, évêque de Denpasar, reprend la direction de l’école et habite au palais d’Abianbase où il aura tout le loisir de connaître et de comprendre la vie quotidienne à l’intérieur d’un palais balinais. Fait partie de la troupe de musique « Bala Ganjur » du palais. Commence à utiliser ses photographies et à créer une technique de peinture particulière.
1997 « Gelar Kalpika 97 ». Expose en commun à l’Hôtel Hilton de Jakarta. Étudie plus particulièrement l’anatomie, en suivant les sessions de modèle vivant à la Galerie Pranoto à Ubud.
1998 « Human Form ». Exposition en commun à la galerie Pranoto.
1999 Construit une maison au village d’artiste « Kubu Bingin » près de Goa Gajah, où il vit jusqu’à ce jour avec son épouse Reizka et ses deux enfants, Tristan et Ludovic.
2000 Expose en collaboration avec la « Duta Fine Art Foundation » au centre culturel Français de Jakarta, première exposition individuelle.
2001 « Human Form 2 ». Exposition en commun à la galerie Pranoto.
2001 Entre à la « Bamboo Gallery », Ubud.
2006 Exposition individuelle « Passages » au Center for Strategic and International Studies (CSIS), Jakarta. Cette exposition a été inaugurée par son Excellence Mr Renaud Vignal, ambassadeur de France à Jakarta.
2009 Exposition individuelle « Duality » avec Kupu-Kupu Art Project Management à la galerie D Gallerie, Jakarta. Cette exposition a été inaugurée par Madame Shinta Widjaja Kamdani.
2011-2012 Exposition individuelle « Rhapsody for the Otherness » à la galerie OneEastAsia de Singapour. Cette exposition a été inaugurée par Madame Aarti Lohia.
2012 Une partie de la collection « Rhapsody for the Otherness » exposée à la galerie MonDecor, Jakarta Art District, Jakarta.
2014 Exposition individuelle « Insight » à l’hotel Sofitel, Nusa Dua, Bali. Cette exposition a été inaugurée par son Excellence Mme Corinne BREUZÉ, ambassadeur de France à Jakarta.
2016 Melancholia reçoit la médaille d’or au 60e anniversaire du salon de Taverny, France.
Please note
[1] L’École Boulle a été créée en 1886 pour former des personnes qualifiées dans les métiers de l’ameublement et dans les métiers du bronze et de la gravure souvent associés à ceux du meuble. Cet établissement centenaire enseigne dans le respect des traditions séculaires tout en ayant le souci de suivre l’évolution du goût, de la technique et des débouchés professionnels, privilégiant l’audace et la créativité. On retrouve ses anciens élèves dans les secteurs les plus divers: le design du TGV, les bijoux Cartier ou bien les décors de l’émission "l’Envoyé spécial". André-Charles Boulle, célèbre ébéniste de Louis XIV, a été parmi les premiers à enrichir ses créations de matériaux divers : laiton, étain, ébène, ivoire, écaille... A la fin du 17ème siècle, cet artisan créateur ne se limite pas au seul meuble, il conquiert l’espace qui l’entoure à la manière d’un architecte d’intérieur d’aujourd’hui. [2] Fondée vers l’an 630 dans le diocèse d’Orléans, sur les bords de la Loire. Elle est refondée en 1944 par des moines venus du monastère de la Pierre qui Vire dans le Morvan